L’aboutissement d’une organisation est de créer les conditions qui libèrent l’individu d’elle-même.
Les normes pour permettre à tout un chacun, d’être souverain, au sein même des organisations auxquelles il participe, est une dé_standardisation des organisations sociales qui souhaitent incarner le renouveau.
Dans un nouveau contexte, les besoins secondaires des sociétés du 20eme siècle sont obsolètes. (Consommations, valeurs et visions)
Plutôt que de parler de décroissance, changeons simplement les paradigmes et revenons aux besoins premiers tout en conservant les fruits de l’innovation, le développements technologique et scientifique.
Recyclons nos infrastructures et les valeurs du productivisme.
Il faut peut-être désapprendre le commun. La seule chose que l’on a en commun, c’est la différence et s’il est une raison d’être, elle est extraordinaire. Donc si on veut préserver le bien commun, il faut magnifier la souveraineté individuelle de tout un chacun.
Nous avons aujourd’hui, les outils, tous ensemble pour entendre, analyser et résoudre les besoins premiers de chacun. Là, se situe la richesse que nous allons développer où se rejoignent la raison d’être individuelle et commune par l’intelligence collective.
Dénormalisation des bases de données:
ce qui est en jeu a propos de l’organisation de nos sociétés humaines aujourd’hui dans un contexte de gouvernance assistée par ordinateur.
Data: Les données sont des informations non interprétées.
Individu: matière première
Identité Culture Statut social Consommation Opinion Santé
Interaction (relationnelle ou physique):
Mouvement Partage Influence Peur Attraction.
Faisant le choix de la création de richesse à partir de l’énergie générée par les interactions, nous allons placer l’être humain au pilotage de ces informations pour que chaque personne soit non plus le produit mais le récepteur de ce bien commun.